Dans le cadre du Diplôme Universitaire de "psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent", j’ai choisi d’explorer une question au cœur de ma pratique : comment la relation de confiance peut favoriser l’engagement dans le soin chez les adolescents présentant un trouble de la personnalité limite.

Ce travail s’appuie sur mon expérience de terrain, des lectures théoriques et des échanges avec des cliniciens. Il met en lumière les enjeux relationnels, la nécessité d’une posture ajustée et les outils mobilisables pour soutenir une alliance thérapeutique souvent fragile.